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E3C HG tronc commun classe de Première générale

ÉLÉMENTS DE CADRAGE CONCERNANT LES E3C :

LA QUESTION PROBLÉMATISÉE EN CLASSE DE PREMIÈRE GÉNÉRALE

HISTOIRE ET GÉOGRAPHIE

 

CADRE RÉGLEMENTAIRE :

NOTE DE SERVICE N° 2019-050 DU 18-4-2019

 

L’exercice de la question problématisée s’inscrit dans les épreuves communes de contrôle continu d’histoire géographie en Première générale, et les présentes indications ont pour objet d’en faciliter la pratique.

 

Cet exercice permet de travailler la mobilisation des connaissances, l’expression écrite et l’argumentation.

 

Lien avec la grille des capacités telle que présentée dans le programme de Première générale (BOEN spécial n° 1 du 22 janvier 2019) :

 

Connaître et se repérer Identifier et nommer les périodes historiques, les continuités et ruptures chronologiques.

Identifier et expliciter les dates et acteurs clés des grands événements.

Nommer et localiser les grands repères géographiques ainsi que les principaux processus et phénomènes étudiés.

Utiliser l’échelle appropriée pour étudier un phénomène.

 

Contextualiser Mettre un événement ou une figure en perspective.

Mettre en œuvre le changement d’échelles, ou l’analyse à différentes échelles (multiscalaire), en géographie.

Mettre en relation des faits ou événements de natures, de périodes, de localisations différentes.

Confronter le savoir acquis en histoire et en géographie avec ce qui est entendu, lu et vécu.

 

Employer les notions et exploiter les outils spécifiques aux disciplines : Employer les notions et le lexique acquis en histoire et en géographie à bon escient.

 

Construire une argumentation historique ou géographique :  Utiliser une approche historique ou géographique pour mener une analyse ou construire une argumentation.

 

 

L’énoncé est donné sous forme d’une question.

–          Cette question est suivie d’indications pour construire la réponse dans les épreuves de première.

–          Ces indications ne sont pas présentes en terminale.

 

Les élèves disposent d’une heure pour rédiger leur réponse. On ne saurait donc attendre dans la question problématisée tout ce que l’on attend d’une composition ou d’une dissertation.

 

Tout d’abord, la problématique est fournie par le sujet qui est déjà une question. La formule « question problématisée » indique que la problématique n’est pas à construire.

 

L’introduction a donc pour objet essentiel de présenter le plan qui sera choisi pour la réponse. En première, l’élève peut reprendre les axes proposés dans l’indication. (NB : En terminale, il devra construire son plan).

 

Le développement peut être en deux ou trois parties. Il faut s’appuyer sur des exemples précis et articuler les idées générales avec des acteurs, des lieux, des événements.

 

Cela implique que l’on ne peut répondre à une question problématisée en quelques lignes. Mais l’exercice est réalisé en une heure : on n’attend donc pas nécessairement une réponse de plus de deux pages. Ce calibrage est bien sûr tout à fait indicatif, car on ne saurait confondre la qualité et la quantité.

 

La réponse à la question problématisée doit donc être développée avec rigueur et rédigée avec clarté dans l’expression. Le propos doit mobiliser des notions et le vocabulaire spécifique de la discipline concernée.

 

La conclusion doit fournir des éléments de réponse à la question posée.

 

Avec mes vifs remerciements. Meilleures salutations.

JC NICOLAS

Inspecteur d’académie Inspecteur pédagogique régional Histoire Géographie

 

Explication des codages des sujets BNS par l’IGESR

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