Vous trouverez au BOEN du 17 mars 2016 sous ce lien le programme d’enseignement de complément de langues et cultures de l’Antiquité pour le cycle 4 du collège.
Catégorie : L.C.A.
Journée de rencontre et de culture de l’ARELABOR
Comme chaque année, l’Association REgionale des Langues Anciennes de l’académie de BORdeaux, avec laquelle le rectorat collabore sur le dossier des langues et cultures de l’Antiquité, organise pour les professeurs de lettres classiques (ou modernes enseignant les LCA) une journée de rencontre et de culture à l’occasion de son assemblée générale. Elle aura lieu cette année le mercredi 23 mars 2016 de 9h à 16h45 à l’archéopôle d’Aquitaine, Odéon, Domaine universitaire, Pessac (Tramway : ligne B, arrêt UNITEC).
Vous trouverez sous ce lien un programme prévisionnel de la journée.
Sites sur l’antiquité
| Enseignement des lettres | Langues et Cultures de l’Antiquité
CRÉATION DE SITE |
http://www3.ac-clermont.fr/etabliss/tremonteix/narbonnaise/TEXTES/PEDAGOGI.HTM |
ÉTUDE D ‘OCCURRENCES exemple : la fides et sa transgression chez Tite-Live |
http://agoraclass.fltr.ucl.ac.be/concordances/Tite-Live/listvocabulaire.cfm?lettre=F |
TRADUCTIONS DE TEXTES LATINS ET GRECS |
http://www.remacle.org/ |
LES TRADUCTIONS AU MOYEN ÂGE ET À LA RENAISSANCE |
http://aedilis.irht.cnrs.fr/traductions/ |
LIRE LE GREC ET LE LATIN |
GREC |
http://www.rhapsodes.fll.vt.edu/ (format un peu ancien – *.mov nécessitant Quick Time et un téléchargement préalable) |
http://www.fas.harvard.edu/~classics/poetry_and_prose/poetry |
http://www.u-grenoble3.fr/homerica/musique/diction.html |
http://www.fas.harvard.edu/~classics/poetry_and_prose/homer/homer.html |
http://wiredforbooks.org/iliad/index.htm |
http://www.oeaw.ac.at/kal/sh/index.htm (accompagnement) |
http://www.oeaw.ac.at/kal/agp/ (lectures d’Homère, Eschyle et Platon) |
LATIN |
http://www.wiredforbooks.org/aeneid/ |
TEXTES |
LETTRES DE SIDOINE APOLLINAIRE http://www.thelatinlibrary.com/sidonius.html |
L’HISTOIRE ECCLÉSIASTIQUE D’ANGLETERRE DE BÈDE LE VENERABLE http://www.thelatinlibrary.com/bede1.html |
LES LETTRES DE FRONTON À ANTONIN ET MARC AURELE http://www.thelatinlibrary.com/fronto.html |
LE PANÉGYRIQUE DE THEODORIC PAR ENNODIUS http://www.thelatinlibrary.com/fronto.html |
ÉPIGRAMMES DE MARTIAL : texte latin complet et trad. en allemand http://www.gottwein.de/Lat/mart/ausw01.htm |
Concours national du « Calame d’Or » pour les latinistes
| Actualités
Le concours national du Calame d’Or revient. Ayant réuni 866 élèves latinistes de 4e l’année dernière, venant de 19 académies différentes, il a décidé de durer.
Pour cela, une équipe dynamique de professeurs de lettres classiques a créé une association à but non lucratif, « le calame d’or » et elle attend vos inscriptions en ligne sur un nouveau site plus moderne : http://www.lecalamedor.fr/
Pour en savoir plus …
Pour une liaison collège / lycée en langues & cultures de l’antiquité
Vous trouverez sous le lien suivant ou dans la rubrique Enseignement des lettres >> Langues et Cultures de l’Antiquité >> Latin, Grec … [Collège] le rapport de formateurs sur l’importance d’assurer des actions de liaison – au sein d’un même secteur – entre professeurs de lettres classiques au collège et au lycée.
Pour aider à leur mise en oeuvre, trois documents vous sont proposés au téléchargement sous le lien donné plus haut.
Pourquoi les langues et cultures de l’Antiquité ? …
| Actualités
au 08/03/2015 Pourquoi les langues et cultures de l’Antiquité ? pourrait-on reprendre avec Jacqueline de Romilly. Dans son ouvrage Pourquoi la Grèce? en effet, elle met en lumière deux aspects indissociables et majeurs de l’hellénisme : la liberté et l’humanisme, valeurs fondamentales qui nous animent encore. (pour lire l’intégralité de l’article …)
Actualités des LCA
| Enseignement des lettres | Langues et Cultures de l’Antiquité
au 08/03/2015
Pourquoi les langues et cultures de l’Antiquité ?
… pourrait-on reprendre avec Jacqueline de Romilly. Dans son
ouvrage Pourquoi la Grèce ? en effet, elle met en lumière deux
aspects indissociables et majeurs de l’hellénisme : la liberté et
l’humanisme, valeurs fondamentales qui nous animent encore.
Notre champ d’action, la pédagogie, nous en vient également :
il s’agit de la croyance en la possibilité et l’utilité de conduire
l’être humain vers un meilleur possible, une excellence, disons-le
en grec, l’arétê.
Trois textes célèbres sont ici proposés en ce sens : « l’école de la Grèce », extrait d’un discours de Périclès rapporté par Thucydide dans la guerre du Péloponnèse, « une cité libre », dialogue entre Thésée l’athénien et un thébain, extrait des Suppliantes d’Euripide, et enfin « La plus grande merveille », extrait du chant du chœur d’Antigone de Sophocle.
« l’école de la Grèce »
« Une cité libre »
« La plus grande merveille ».
au 01/02/2015
Formation à la méthode active
audio-orale
en langues anciennes
Dans le cadre de la formation à la méthode active audio-orale en
langues anciennes, un groupe a travaillé pendant un an autour de
Germain Teilletche : principes et présentation de la méthode, boite
à outils, texte et prolongements,
un livret de vingt-quatre pages est en ligne ! Suivez ce lien.
au 21/11/2014 Langues et cultures de l’Antiquité : Oral
Baccalauréat
Télécharger au format
Cette « charte académique », rédigée dans le respect des Instructions Officielles (B.O. n° 21 du 22 mai 2003 et B.O. n°15 du 9 avril 2009), ne saurait remplacer ces textes auxquels il faut constamment se reporter.
1. La liste des textes
– Elle est construite avec les élèves, sans surprise de dernière heure pour eux.
– Afin de permettre une interrogation adaptée des élèves, il est souhaitable de préciser en préambule pour le jury les conditions d’enseignement de la discipline au long de l’année : absence de professeur, nombre d’heures suivies par l’élève et la nature du groupe (homogène, plusieurs niveaux)…
– Un groupement de textes comporte au moins 3 textes, soit au total 50 à 60 lignes ou vers.
Toutefois, ce n’est pas le nombre ni la taille des textes qui importe, mais la conformité du travail avec le « programme ».
Dans la présentation des textes, le professeur indique ce qu’il a fait: les passages qu’il a fait traduire (références précises), la ou les traductions utilisées, etc.
– Il faut demander aux élèves de se munir de deux exemplaires des textes et des traductions utilisées (il est rappelé que les textes peuvent être accompagnés d’une traduction, annotés et « équipés » par l’éditeur ou le professeur)
2. L’épreuve
Le candidat se présente à l’oral avec les supports sur lesquels il a travaillé pendant
l’année. L’examinateur adopte une attitude bienveillante et s’interdit tout commentaire sur la prestation du candidat, sur son professeur, ou sur son établissement.
– La préparation (30 mn) :
Un dictionnaire est à la disposition des candidats ; l’emploi du dictionnaire personnel est autorisé après vérification de sa conformité par l’examinateur.
Le passage donné à traduire représente environ 5 lignes ou vers.
En vue de la dernière partie de l’épreuve, on propose deux lignes d’un texte non vu dans l’année avec sa traduction ; l’examinateur préparera donc un petit corpus d’extraits pour chaque entrée au programme.
– L’interrogation (15 mn) :
On veille à respecter la durée et le candidat doit pouvoir réaliser les trois parties de l’épreuve (traduction, commentaire, « bonus »).
La définition précise de l’épreuve figure dans les textes officiels (cf supra) : on ne saurait s’en écarter.
Il est rappelé qu’il ne s’agit pas d’une épreuve de grammaire. Les interventions ou
questions de l’examinateur n’ont pour but que de guider le candidat et non le piéger ou le mettre en difficulté.
Le commentaire de l’ensemble du texte est un moment essentiel qui permet d’apprécier comment le candidat comprend le texte et ses enjeux.
– L’évaluation :
A la différence de l’épreuve de français, il est rappelé que, pour cette épreuve
facultative, seuls sont pris en compte les points au-dessus de 10, ce qui revient à noter les élèves à partir de 10. Il y a mérite et courage à se présenter à cette épreuve et à avoir suivi cette option pendant plusieurs années. La note de 20 n’est pas exceptionnelle.
Pour la dernière partie de l’épreuve (« bonus »), on attend simplement que les élèves puissent commenter la traduction proposée en appréciant les écarts. Cet exercice bref n’appelle pas de reprise et ne peut que relever la note.
On valorise une lecture expressive, une méthode de traduction par groupes de mots et de sens claire et bien maîtrisée, une sensibilité littéraire et une ouverture culturelle. Une capacité à scander, une traduction élégante, une connaissance subtile de la grammaire et de la syntaxe, la hauteur de vue dans le commentaire sont des compétences exceptionnelles qu’il convient de valoriser largement.
TROIS GROUPEMENTS DE TEXTES
par G. Teilletche, professeur au collège
de Latresne (33)
L’idée de groupements latin/grec (classe de 3e) permet
de mettre en lumière l’intérêt d’étudier ces deux langues
de la culture antique, étroitement liées. La littérature latine
se constitue en effet en se référant à la grecque : l’on pourra
voir dans le groupement « carpe diem » des éléments du
lyrisme grec, antérieurs au lyrisme latin. Mais, ce qui est
parfois oublié, les deux littératures coexistent au sein même
de l’empire romain : non seulement l’on étudie langue et
littérature grecque dans l’ouest de l’empire, mais des écrivains
continuent à écrire en grec dans sa partie orientale, en témoigne
le second groupement, sur Catilina, où l’on apprend que la vie de
Cicéron est essentiellement connue par Plutarque, écrivain grec.
Le troisième groupement, en latin, niveau 4e, s’il est plus classique
en son thème, « servi sunt », propose un parcours de textes originaux,
accompagnés de mots croisés et illustrations de qualité.
Le groupement de textes bilingues « carpe diem ».
Le groupement bilingue sur Catilina.
Le groupement en latin sur le thème « servi sunt ».
DÉCOUVRIR LE LATIN EN CINQUIÈME
COMME UNE LANGUE VIVANTE
« Loquerisne linguam latinam ? (Parlez-vous latin) lui dit l’abbé Pirard,
comme il revenait.
– Ita, pater optime, (Oui, mon excellent père), répondit Julien, revenant
un peu à lui. Certainement jamais homme au monde ne lui avait paru moins
excellent que M. Pirard, depuis une demi-heure.
L’entretien continua en latin. L’expression des yeux de l’abbé s’adoucissait ;
Julien reprenait quelque sang-froid Que je suis faible, pensa-t-il, de m’en
laisser imposer par ces apparences de vertu ! »
Stendhal, Le Rouge et le noir, I, 25.
Et si l’enseignement du latin se faisait en… latin ? Parler le latin,
est-ce possible ? N’est-il pas étonnant qu’après avoir été langue
d’enseignement plus d’un millénaire après la fin de l’imperium
romanum, on ait renoncé à l’idée même d’un latin oral ? Une des
difficultés de son apprentissage n’est-elle pas surtout l’absence de
contexte lexical, ce qui rend son acquisition particulièrement lent ?
Germain Teilletche, professeur de lettres classiques au collège de
Latresne, nous présente la méthode qu’il a mise au point avec ses
élèves de 5ème.
Olivier Massé, IA-IPR de lettres en charge du dossier LCA
Parler et écrire en latin en cours de latin… pour quoi faire ? La méthode active d’enseignement du latin vise à plonger les élèves débutants dans un bain linguistique permanent en les invitant à s’exprimer en latin, à décrire en latin, à lire et comprendre des textes originaux en latin. Cette méthode vise avant tout à leur faire employer et comprendre dans la langue le fonctionnement casuel et son articulation avec les formes de première et de deuxième déclinaison. Ainsi, les élèves plus faibles en grammaire, en difficulté dès l’entrée en cinquième devant les fonctions dans la phrase française, peuvent s’appuyer sur leur expérience du latin pour combler leurs lacunes, sans rien sacrifier du programme de latin de cinquième, que ce soit dans le programme de langue que dans la découverte de textes originaux, la méthode articulant sans cesse des activités audio orales et la lecture de textes latins.
Trois séances peuvent illustrer cette démarche.
La séance inaugurale part de la présentation des élèves à l’oral, en s’appuyant sur le diaporama du document joint. Les élèves sont amenés à employer les formes de première et de deuxième déclinaison concernées au nominatif, ainsi les formes du verbe être, autour d’un vocabulaire basique. Ce jeu fixe la couleur bleue, qui restera toujours associée au nominatif. Puis l’élève pourra utiliser ces connaissances basiques pour comprendre l’essentiel de la stèle, liée à un cours sur les tria nomina. Il ne lui est pas demandé de traduire la stèle (une traduction pourra bien sûr être fournie à la fin du parcours de la séance), mais de répondre aux questions précises posées en latin. Celles-ci lui demandent de circuler dans le texte pour trouver la bonne information (qui consiste de manière très simple à retrouver les marques du nominatif en fonction de sujet ou d’attribut du sujet) en s’appuyant aussi sur un vocabulaire souvent transparent.
La séance suivante compliquera le jeu inaugural. Il est simplement demandé à l’élève de dire ce qui est agréable ou pas, une question donc bleue (voir ici), articulant deux nominatifs (sujet/attribut du sujet) autour du verbe être ; puis l’enseignant demande la même chose mais de manière différente : qu’est-ce que l’élève aime. C’est une nouvelle couleur, l’orange, articulée après des verbes transitifs (il y a d’autres exemples dans la séance : entendre, comprendre…), et donc une nouvelle forme, que l’enseignant aura à cœur de faire alterner les formes orange avec les formes bleues sur les mêmes mots. C’est aussi le moment d’introduire une première vue du présent de l’indicatif ; ces formes seront ensuite utilisées pour comprendre et commenter un texte (par exemple un extrait de L’éloge d’une matrone romaine).
Plus tard dans l’année, tous les cas, sauf le vocatif, ont été vus et associés à une couleur. Les jeux d’énonciation se sont complexifiés cas par cas, les élèves ont pu être amenés progressivement vers des traductions plus longues et plus précises – chaque texte étant mis en couleur par leurs soins avant toute interprétation. La dernière séance que nous présentons ici montre comment le jeu énonciatif se précise autour du commentaire en latin d’une œuvre artistique ; des questions colorées invitent les élèves à comprendre la structure de la peinture autant que la structure de la phrase latine : des questions vertes indiquent une circonstance et nécessitent un ablatif, une question violette amène une relation d’appartenance et un génitif… les élèves récitent ainsi sans s’en rendre compte dès le début du cours des déclinaisons mais ils ne le font pas dans un tableau « mort » mais bien en situation, dans une phrase latine concrète et vivante. Le texte d’Hygin lui succédant évoque bien entendu le même thème, mais surtout il reprend certaines formes (« quadrigis ») que les élèves ont dû employer dans la description orale du tableau. Ils sont amenés à donner des couleurs à leur texte latin, leur permettant ainsi de circuler dans celui-ci, de voir ses sujets et ses circonstancielles, en somme de comprendre sa structure.
Cette méthode rend la partie linguistique du cours de latin beaucoup plus vivante et accueillante pour tous les élèves. Elle permet aussi de poser à plat les difficultés syntaxiques de chacun, cas après cas, et de faire progresser le groupe autour de l’essentiel : le lien entre des formes que l’on reconnaît et leur sens.
Germain Teilletche
Nouvelle contribution en Langues & Cultures de l’Antiquité
| Actualités
au 15/10/14 Trois groupements de textes sont proposés ici par Germain Teilletche, professeur au collège de Latresne.
L’idée de groupements latin/grec (classe de 3e) permet de mettre en lumière l’intérêt d’étudier ces deux langues de la culture antique, étroitement liées … (pour lire la suite)
Antiquité Gallo-Romaine – Sud-ouest de la France
| Les lettres en Aquitaine | Vie culturelle
ANTIQUITÉ GALLO-ROMAINE – SUD-OUEST DE LA FRANCE SITES RÉELS ET VIRTUELS |
Objectif : présenter à nos élèves aquitains quelques sites riches et accessibles, |
soit physiquement, lors de sorties pédagogiques en Aquitaine ou à proximité ; soit virtuellement, en surfant sur la toile. |
Vous avez utilisé cette page pour des visites réelles ou virtuelles ? N’hésitez pas à nous faire part de vos remarques, impressions et découvertes en nous écrivant. |
Attention : ce travail n’est en aucun cas le fruit d’une sélection qualitative, une évaluation ; il a seulement un caractère d’inventaire, le plus exhaustif possible … |
Informations complémentaires par département : Les régions proches |
Passez sur les zones réactives de la carte pour découvrir les sites web et les informations
|
MONTCARET
Petit village tout proche du château de Montaigne, belles mosaïques (avec atelier d’initiation) et musée.
Doc : Site gallo romain de Montcaret, plaquette de la Caisse Nationale des Monuments Historiques
Tél : 05 53 58 50 18
E-mail : site.montcaret@paysfoyen.com
Voir aussi les sites suivants :
http://helitech.chez.tiscali.fr/villagalloromaine.htm
http://helitech.chez.tiscali.fr/museemontcaret.htm
PÉRIGUEUX
http://www.ville-perigueux.fr/capitale/promenade/fiche/musee_gr1.htm
Historique des fouilles et mise en place du Musée Gallo Romain, baptisé Vesunna, qui a ouvert en Juillet 2003
http://www.semitour.com/pages.php?p=Sites/Vesunna
Parc de Vésone.- 24000 Périgueux Tél. : 05 53 53 00 92 – Fax : 05 53 08 45 00 – Réservations : 05 53 05 65 60
E-mail : valerie.desfrancois@perigueux.fr
CENTRE DE RECHERCHES AUSONIUS :
http://www-ausonius.montaigne.u-bordeaux.fr/
Consulter notamment l’exposition itinérante « du Nil à Rome », Xanthos, ou l’archeopôle (physique et virtuel) en cours de construction. Ce sera beau … un jour prochain !
BORDEAUX :
http://www.mairie-bordeaux.fr/archeologie/
http://www.mairie-bordeaux.fr/musees/musee-aquitaine/museeaquitaine1.htm
Tél : 05 56 01 51 04
Les grands chantiers lancés à l’occasion de la construction du tramway et des bouleversements connexes. La plupart de ces découvertes attendent les visiteurs au Musée d’Aquitaine, Cours Pasteur, à Bordeaux
http://www.chez.com/woozwoo/palaisgallien/
présentation du Palais Gallien, l’un des anciens vestiges romains de Bordeaux et son histoire. Le site est à deux pas de la rue Fondaudège, on en fait le tour en quelques minutes…
PLASSAC :
http://plassac.free.fr/village/villa.htm
http://teuillac.free.fr/homepage/ecole/sorties/villa/villa.htm
Près de Bourg/Gironde, cette villa gallo romaine est un peu la vitrine du Conseil Général en la matière, avec un module de fouilles pédagogique.
Coordinatrice : Mme Dordans, au Conseil Général – 05 56 99 33 33.
Il existe un documentaire audiovisuel réalisé par le Conseil Général de la Gironde : Les Villae gallo-romaines de Plassac – France 1995 – Betacam SP – 10’17 ».
Enfin, une exposition « Plassac la Romaine », réalisée par des élèves du collège du Val de Saye est disponible au CDDP de la Gironde.
Quant aux sites informatiques, ils sont « en sommeil » ou phagocytés par les annonceurs. Quelques images ou informations surnagent toutefois…
SANGUINET :
villages recouverts par les eaux au sud d’Arcachon – Archéologie sous-marine :
http://www.musee-de-sanguinet.com/index.html
Adresse : OFFICE DE TOURISME Place de la Mairie 40460 SANGUINET
Tél. 05 58 78 67 72
Fax 05 58 78 66 34
E-mail : CRESS2@wanadoo.fr
http://www.ifrance.com/archeolandes/
Présentation de la situation spécifique des vestiges et des fouilles en terrain sablonneux
LABASTIDE D’ARMAGNAC :
Villa de Géou.
Seule une mosaïque est visible à l’Office de Tourisme
SAINT SEVER :
Villa d’Augreilh.
Cette villa, privée, ne se visite pas, mais il en existe une présentation du Dr Dubedieu : La Villa gallo romaine de Gleyzia d’Augreilh
Un catalogue détaillé des pièces présentes dans les différents musées du département
http://www.lot-et-garonne.fr/webcg47/archeo/html/present.htm
http://www.univ-tlse2.fr/utah/pyrenees-antiques/
Sur le site de l’Université de Toulouse, une moisson d’information sur l’occupation et l’économie de la région à l’époque romaine
H A U T E G A R O N N E
MONTMAURIN: (31350)
http://fmaquaire.free.fr/Incontournables/montmaurin.html
Grande villa des 2ème et 3ème siècle et son musée Tél :05 61 88 74 73
http://www.educreuse23.ac-limoges.fr/aub/cantonroy/Canton8/stpardoux/villa.htm :
Compte Rendu fort bien illustré du voyage d’un collège de la Creuse.
SAINT BERTRAND DE COMMINGES :
http://www.univ-tlse2.fr/utah/pyrenees-antiques/pedagogie/cuisine.htm#haut
A Saint-Bertrand-de-Comminges, repas romain servi au Lugdunum pour les élèves comme pour les touristes de passage
TOULOUSE :
http://perso.wanadoo.fr/palladia/page2.htm
Une présentation soignée de tout ce qu’il est nécessaire de savoir pour apprécier Tolosa, ville romaine
VALENTINE :
villa d’Arnesp, près de St Gaudens.
Quelques vestiges, mosaïques, coffres, amphores ainsi que des maquettes faites par des élèves. Visites sur RV.
Rens. : Mairie 05 61 89 05 91
G E R S
EAUZE :
http://www.fources.fr/eauze.html & http://www.eauze.net/
Les deux trésors d’Eauze, 28 000 pièces de monnaie du 3ème siècle et les vestiges archéologiques (env.1h de visite)
Tél : 05 62 09 71 38 – Entrée gratuite pour les scolaires (- 17 ans), commentaires de la visite payants
MONTREAL DU GERS –
Villa de Séviac : http://perso.wanadoo.fr/pierre.caubisens/seviac_fr/accueil.htm
Information très riche qui permet de préparer/exploiter une visite sur place (env. 2 h) avec des scolaires
Tél – Fax : 05 62 29 48 43 Entrée payante, commentaires de la visite gratuits
Prévoir 1/2 h en plus pour la visite des mosaïques exposées à l’Office de Tourisme de Montréal du Gers
Eauze et Montréal du Gers (Séviac) sont deux bourgades très proches et la visite se combine facilement
L O T
L’aqueduc gallo-romain de Vers à Cahors : http://perso.wanadoo.fr/dominique.viard/
Poitou-Charente
C H A R E N T E
CHASSENON :
entre Angoulême et Périgueux, c’est un site connu notamment pour ses thermes en excellent état
http://www.a2i-micro.fr/~amchassenon/chass2.html & http://membres.lycos.fr/cassinomagus/
Site archéologique : 05 45 89 22 49
– Office du tourisme : 05 45 89 08 29
– Réservations : 05 45 89 32 21
C H A R E N T E M A R I T I M E
BARZAN :
près de Talmon, sur la côte nord de la Gironde : la photographie aérienne a révélé un ancien port très important.
http://www.tourisme-cozes.com/barzan/index.php
http://www.avcommunication.fr/travail/cb/dossiers/patrimoine/cb_patr_2.html
http://www.avcommunication.fr/travail/cb/dossiers/patrimoine/cb_patr_5.html
et surtout
http://perso.wanadoo.fr/le-fa.barzan/plan.html & http://perso.wanadoo.fr/le-fa.barzan/pedago.html
Présentation du centre en cours de fouilles (Un. de Bordeaux III) et de son exploitation pédagogique. Possibilité de logement à proximité (CLSH)
SAINTES :
2 sites succincts qui ne rendent qu’assez mal compte de la richesse des lieux : musée archéologique très riche (réservations au 05 46 474 20 97 – questionnaire pédagogique), vestiges d’aqueduc (en campagne : sources, parcours souterrain accessible, arches sur le terrain de golf), amphithéâtre, vestiges divers
http://www.saintes.com/ & http://www.ot-saintes.fr
VIA DOMITIA :
http://www.educnet.education.fr/musagora/voyages/provence/domitia.htm
Ce site rend compte de manière simple de voyages au long de la Via Domitia
http://www.viaeromanae.org/
Site qui prévoit d’informer sur l’ensemble des routes romaines de l’ouest de la mer Méditerranée – Via Domitia, Via Augusta – et tout ce qui s’y rattache. Le site est en continuel développement et comprend photos et informations pratiques relatives aux vestiges, souvent évocateurs et très accessibles, de ces voies de communication
H É R A U L T
AGDE :
Agde, l’ancienne ΑΓΑΘΗ des Grecs, son éphèbe, ses amours – et l’archéologie « sous-marine » (Musée & ateliers peinture de céramique ou hiéroglyphes, env.2h de visite) :
http://www.ville-agde.fr/culture/index.html & http://www.culture.gouv.fr/culture/archeosm/fr/fr-act-mus5.htm
ENSERUNE :
Près de Béziers, le célèbre oppidum qui dominait la route d’Espagne (env.1h30 de visite)
http://www.oppidumdenserune.com/
LOUPIAN (près de Sète) :
à mi-chemin de Béziers et Montpellier, une vaste villa fouillée et aménagée sur place en musée, qui offre divers ateliers pédagogiques pour les scolaires.
http://villaloupian.free.fr/
Trois sites informatiques très riches, pour entrebâiller la porte et donner l’envie de voyager au rythme des anciens …
http://pedagogie.ac-aix-marseille.fr/etablis/colleges/rocher_du_dragon/
Site très riche d’un collège provençal à l’affût des vestiges antiques : information sur les sites du Pont du Gard, d’Entremont, d’Aix, St Rémy ou Glanum …
ARLES :
un catalogue presque aussi beau que le musée lui-même et en tout cas très utile pour préparer ou approfondir la visite du musée
http://pedagogie.ac-aix-marseille.fr/etablis/lycees/daudet/arlantic/som.htm
Site du musée : http://www.arles-antique.org/mapa_cg13/root/index.htm
ENTREMONT :
très belle présentation de Marseille & Entremont – aux origines (gauloises, grecques et romaines) de la région
http://www.entremont.culture.gouv.fr/culture/arcnat/entremont/fr/
QUELQUES RECHERCHES SPÉCIFIQUES – À LA PÉRIPHÉRIE DE NOTRE THÈME :
DÉCOUVERTE DE LA PRÉHISTOIRE :
http://www.perigord.tm.fr/prehistoire/index.htm
Ce site est si riche et ouvre tant de perspectives qu’un aquitain intéressé par l’antiquité ne devrait pas l’ignorer…
ARCHÉOLOGIE AÉRIENNE :
http://www.archaero.com/archeo102.htm
Les exemples portent principalement sur le sud de la Charente Maritime et sont récents.
ÉTUDE DES SOUTERRAINS – REFUGES ET DES SILOS À GRAIN en Sud Charente :
http://sites.de.charente.free.fr/etudes/e_ber.htm
Malheureusement tous les commentaires ont été retirés du site par « respect de la propriété intellectuelle ». Il reste les photographies, pour nous allécher et l’adresse de l’auteur pour établir des contacts…
ARCHÉOLOGIE DU FER :
http://perso.club-internet.fr/ferrylac/cadreathanor.html
Reportage photographique sur une expérience de « bas fourneaux » en Médoc dont le point fort sera le 15 mai 2004
SIDÉRURGIE ANTIQUE :
http://www.univ-tlse2.fr/utah/fer/
De 50 av. J.C. jusque vers l’an 200 de notre ère, le Grand Ferrier a traité près de 40 000 T. de minerai de fer.
CÉRAMIQUE DU NÉOLITHIQUE À NOS JOURS :
http://www.chez.com/ceramique/present.htm
Découverte & ateliers dans les Pyrénées Orientales (Bélesta notamment)
Enfin, voici quelques sites traitant de l’antiquité en général :
http://www.culture.fr/culture/arcnat/fr
offre une présentation critique sur les meilleurs sites archéologiques de France
Deux autres adresses nous ont paru très utiles ; ce sont des inventaires des sites informatiques sur l’antiquité :
compilation de J. Julien : http://www.ac-versailles.fr/pedagogi/Lettres/classics.htm
celle d’Archéophile : http://www.archeophile.com/index.php
On peut y chiner les antiquités par thème, par département ou par région. Et bien sûr, on ne s’y limite ni à l’époque ni à la région qui retiennent ici notre attention !
http://www.educnet.education.fr/musagora/visites.htm
Cet inventaire s’est spécialisé sur les sites pédagogiques, souvent réalisés par des élèves ou des étudiants.
Enfin, la revue AQUITANIA tient à jour les connaissances sur le sujet : http://www-aquitania.montaigne.u-bordeaux.fr/
CAP ARCHÉO
Installé à Pessac, près de Bordeaux, Cap’Archéo propose d’excellents programmes concrets d’initiation à l’archéologie. Un inventaire des offres disponibles dans notre région est d’ailleurs en cours d’achèvement. Il sera disponible sur le site du CRDP.
http://www.cap-sciences.net/site.asp?url=edito.asp&site=caparcheo&page=enquetesurla&frame=web
http://crdp.ac-bordeaux.fr/cddp33/caparcheo.htm
Adresse : CAP SCIENCES : Hangar 20 – Quai de Bacalan 33300 Bordeaux
Tel : 05 57 85 51 38 : 05 56 51 80 77
é-mail : caparcheo@cap-sciences.net
http://www.canalarcheo.org s’inquiète de son côté de la situation difficile de l’archéologie préventive
Michel Lambert Gaborit et le Groupe TICE-Lettres Académie de Bordeaux, Mars 2004
LCA : charte académique pour l’oral du baccalauréat
| Actualités
au 21/11/2014 Cette « charte académique », rédigée dans le respect des Instructions Officielles (B.O. n° 21 du 22 mai 2003 et B.O. n°15 du 9 avril 2009), ne saurait remplacer ces textes auxquels il faut constamment se reporter.
Pour en savoir plus …