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Mar 18

Lettres TIC’-Edu

Les lettres Edunum arts plastiques, et les formes antérieures (Tice-Edu), publiées dans la discipline depuis 2008 ne sont plus accessibles en ligne. Ces publications forment un corpus intéressant, portant sur des questions diverses ayant été constamment enrichies. Elles sont utiles aux formateurs, aux étudiants en Inspe, aux professeurs… Elles forment une mémoire de notre effort collectif d’écriture dans et sur la discipline.

Les voici téléchargeables en pdf:

Entrez dans une classe de quatrième d’arts plastiques et observez les élèves au travail…

Des interlocuteurs académiques pour les arts plastiques proposent une bibliographie relative à l’art numérique,
fruit de leur travail lors de la dernière réunion nationale de Poitiers…

Dossier en construction sur le site académique de Nantes sur la question de l’objet et de l’œuvre en Sixième.
Quelques exemples de séquences, des réflexions et des supports pédagogiques possibles.

Un dossier très complet sur les arts plastiques et l’image numérique produit par les professeurs de
l’académie de Besançon en partenariat avec le CRDP de Franche-C
omté.

Dans le cadre des actions mutualisées nationales, des académies se sont engagées durant l’année scolaire 2009-2010 dans des actions de recherches réflexives sur l’utilisation des TICE au sein du cours d’arts plastiques transniveaux. L’ensemble de ces travaux abordent directement ou indirectement le programme de la classe de Quatrième,
sous la forme de propositions de séquences ou de pistes de réflexion.

Dossier du trimestre : Espace, Œuvre et Spectateur

Cette nouvelle Lettre TIC’Édu consacre un dossier complet au dessin, thème que l’on retrouve autant dans les nouveaux programmes de Seconde qu’induit dans les programmes de collège.

Cette nouvelle Lettre TIC’Édu consacre un dossier complet aux rapports entre la figuration et l’image où la
question de l’écart de l’image à son référent reste incontournable de l’enseignement des arts plastiques. Elle est
au centre des nouveaux programmes de Première et des programmes de collège (notamment 5ème et 4ème).

Cette nouvelle Lettre TIC’Édu consacre un dossier complet aux rapports entre la figuration et l’abstraction, à savoir les questions de la présence ou de l’absence du référent, l’autonomie plastique, le rythme, la gestuelle, le géométrique, l’organique, le décoratif, le spirituel, le synthétique.

Cette nouvelle Lettre TIC’Édu consacre un dossier complet aux rapports entre la figuration et l’espace, à savoir
les questions de l’espace littéral de l’œuvre, de l’espace suggéré (représentation), de l’espace de présentation
de l’œuvre, et de l’espace (le lieu) dans lequel l’œuvre s’élabore. Perspective, échelle, scénographie, lieu et
atelier sont au centre des préoccupations artistiques passées et actuelles et nourrissent la réflexion sur la
question plus large de la figuration et de l’espace.

Cette nouvelle Lettre TIC’Édu consacre un dossier complet aux rapports entre l’image et le temps, à savoir les
questions de l’image-temps dans le cinéma, la photographie, la peinture et dans la performance, mais
également, sur un plan théorique, les relations de l’image à l’histoire et au présent. Il s’agit, en outre, de
questionner l’apport des technologies récentes aux débats sur la temporalité des images aujourd’hui.

Cette nouvelle Lettre TIC’Édu consacre un dossier à une Histoire récente, celle de l’art numérique. Au-delà de la
gageure d’un tel projet, il s’agit de préciser les jalons chronologiques, artistiques, théoriques et esthétiques
essentiels, pour comprendre les pratiques et les enjeux apparus, mis en œuvre et questionnés dans le champ
des arts plastiques, des 20e et 21e siècles.

Cette nouvelle Lettre TIC’Édu consacre un dossier aux pratiques actuelles de l’art numérique. Elle prolonge la
première partie de cet exposé (cf. Lettre TIC’Édu N°12) et explore les développements récents que les artistes
font du médium numérique, notamment en le faisant interagir avec des médiums plus traditionnels, tels que la
sculpture, la photographie, la vidéo ou l’installation.

Cette nouvelle Lettre TIC’Édu consacre un dossier aux pratiques de l’image animée en arts plastiques. Elle
explore les usages récents que les professeurs d’arts plastiques, notamment dans l’académie de Lyon, font du
médium numérique dans le cadre d’une réflexion sur les pratiques pédagogiques des images animées. D’autre
part, cette lettre propose des références dans les champs de l’histoire de l’art, de la création actuelle et des
sciences de l’art.

Cette nouvelle Lettre TIC’Édu consacre un dossier aux réflexions et aux pratiques numériques
en lien avec le champ de l’architecture. Dans le dernier quart du XXe siècle, les
développements des technologies numériques ont influencé les disciplines de l’objet et de
l’espace au cœur de leurs méthodes de réflexion et de conception. De plus, à mesure que la
technologie numérique devient un médium, elle se situe comme un langage à l’articulation de
champs disciplinaires tels que l’architecture et les arts plastiques.

Depuis de nombreuses années, l’Internet est présent dans les familles et à l’École. Les
tablettes se diffusent rapidement. Les smartphones sont aujourd’hui d’un usage quotidien
pour la plupart des élèves. Les professeurs d’arts plastiques, dans des règles et des
temporalités qu’il convient toujours d’encadrer, ont recours à leur potentialité pour soutenir
nombre d’activités (en rapport avec la forme, l’espace, la couleur, l’image…, dessiner,
filmer,enregistrer, rechercher, partager, agencer…, travailler le geste photographique,garder
trace des étapes d’une production…

Le début du XXIe siècle voit la réflexion et les pratiques éducatives s’articuler aux nouvelles dispositions
que les technologies numériques induisent face à la perception, au faire et au savoir. L’une des
évolutions notables concerne la notion de pédagogie inversée qui se conçoit dans un contexte de
dématérialisation non seulement des supports et des contenus des savoirs, mais aussi des œuvres d’art.

Les artistes contemporains, depuis plusieurs années, intègrent fréquemment les nouvelles technologies
à leurs pratiques. Ce faisant, ils réinterrogent aussi la place et le rôle des techniques dites
traditionnelles. Certaines pratiques renouvèlent de fait le rapport du spectateur à l’œuvre. Une
dynamique interactive peut se créer entre l’artiste et sa pratique (de par l’usage qu’il fait des nouvelles
technologies et des techniques plus traditionnelles), entre le spectateur et les œuvres perçues.

En art, notamment dans les arts plastiques, le geste n’est pas qu’engagement du corps pour produire en
lien avec des outils ou représentation dans l’œuvre d’une gestuelle. Il est expression, signification soustendue par des attitudes, le rôle du corps, un ensemble de signifiants et de signifiés. La relation du geste,
de l’instrument et des outils dans le contexte du numérique pourrait résonner comme une tautologie, un
système clos. En effet, le numérique ne peut s’extraire de son lien à l’appareillage, à l’instrument, à
l’outil.

Sous les éclairages de caractéristiques propres aux pratiques artistiques engageant des dimensions
numériques, cette lettre Edu_Num aborde principalement l’une des questions du programme d’arts
plastiques au cycle 4 – L’œuvre, l’espace, l’auteur, le spectateur –, tout en l’articulant aux autres
questions et questionnements. La portée des œuvres et des contenus retenus permet également d’ouvrir
sur les autres cycles de la scolarité obligatoire et sur le lycée.

Comment outiller les élèves pour rendre possible un acte d’apprendre motivant, ouvert et structurant
dans un possible continuum du dedans vers le dehors de l’École et réciproquement.

La collaboration et la co-création entre artistes est, pour quelques années, une question limitative du
baccalauréat en arts plastiques. Au-delà des enjeux de l’examen, ces pratiques associées aux questions
des réseaux et plateformes d’artistes, qui connaissent de vifs développements contemporains, invitent à
porter un autre regard sur la nature et les modalités du fait artistique. De même, elles font écho aux
situations d’apprentissage propres à l’ enseignement des arts plastiques. C’est pourquoi nous avons fait
le choix de traiter cette question transversale à travers les questionnements des programmes du collège
et du lycée. Il en découle six chapitres : « la représentation : images, réalité et fiction », « la matérialité
de l’œuvre, l’objet et l’œuvre », « l’œuvre, l’espace, l’auteur, le spectateur », « le dessin et la matérialité
», « la figuration et la représentation », « œuvre et présentation ».

Le numérique est de plus en plus présent dans l’espace pédagogique et social. Par conséquent, il
entraîne en arts plastiques de nouveaux objectifs d’enseignement, de nouvelles pratiques pédagogiques,
des opérations plastiques dématérialisées mixées parfois avec des techniques plus traditionnelles. Le
numérique n’est donc pas l’objet d’un enseignement refermé sur lui-même mais un outil parmi d’autres.

Suite à une première lettre consacrée à l’hybridation le mois dernier, nous nous intéresserons plus
particulièrement, dans cette lettre n° 24, aux pratiques hybridées dans le processus créatif de l’élève.
Il s’agit d’en saisir les enjeux pédagogiques et artistiques, et même la portée philosophique.

Réunis en séminaire au printemps 2019 au Centre d’art d’Enghein-les-Bains, les interlocuteurs
académiques pour le numérique (IAN) en arts plastiques se sont questionnés durant deux journées sur
les lieux de réception de l’œuvre numérique. Cette dernière bouleverse les modalités de l’exposition
depuis son apparition. Matérielle ou dématérialisée, elle questionne l’espace et le temps de sa
présentation au regard, déplace les frontières des institutions muséales, fédère de nouveaux réseaux,
élargit le concept d’atelier et pose tout simplement la question du lieu.